Sans surprises, le commerce d’article de pêche fait partie des commerces dits “non essentiels” pendant la période de re-confinement que nous vivons actuellement. Le magasin de Jean-Charles Petit, Argentat Passion, dans la vallée de la Dordogne en Corrèze subit, comme tous les détaillants, sa seconde fermeture de l’année et il craint que cela ne lui soit fatal. Son coup de gueule, il le destine au gouvernement contre la concurrence déloyale des grandes plateformes internationales de vente en ligne qui ne payent pas de taxes en France alors que les petits commerçants sont fortement taxés. Il regrette que les maires qui ont défendu les petits commerces soient considérés par le gouvernement comme de dangereux irresponsables alors que tout le monde va s’entasser dans les grandes surfaces où les gestes barrières sont autrement plus limités… A lire et à soutenir !
Viry.m
Notre gouvernement nous tient par le bout du nez avec ce confinement…..il créé une misère sociale pour se rendre essentiel a la survie des plus fragile et ainsi nous faire croire que sans eux nous sommes perdu.ils créeent un besoin pour se sentir indispensable.
Benoit de st céré
Courage Jean Charles, on a besoin des tes conseils et tes articles pour l ouverture 2021. ?
Jean-Marc GOUEZ
Je suis de tout cœur avec vous moi même pêcheur à la mouche je viens juste avant ce nouveau confinement de régler mon droit de pêche sur un plan d’eau No kil en seine Maritime.
Il faudra que l’on nous explique comment on peu transmettre ou véhiculer le Covid à la pêche alors que l’on se retrouve la plus part du temps seul au bord de l’eau cela est inadmissible.
C’est donc la deuxième fois que mon droit de pêche m’est interdit ca commence à bien faire et par dessus le marché toutes les Fédérations des AAPPMA fond l’autruche et ne se bouge pas le cul pour faire suspendre cette connerie monumentale.
Je comprends le désarrois auquel vous faite allusion et moi même j’ai été par le passé Président D’AAPPMA et je pense que je serais monté au créneau en attaquant mon ex Fédération qui ne bouge pas le petit doigt et continue à demander les même montant des permis sachant pertinement que l’on ne peut pêcher.
Quelle honte pour nos Fédés !
Roullet
Je reconnais bien là l’esprit de mon magazine; $être au pés de tous les pêcheurs et ce qui gravite autour Bravo continuez
Gatti
C’est bien dans les situations de crise que se révèlent les véritables intérêts de notre système économique. Dommage qu’il faille en arriver là pour en prendre conscience.